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Près de quatre années après la pandémie de Covid-19, l’aération des pièces intérieures reste une arme peu utilisée pour lutter contre les infections.

Selon le professeur Joe Allen de l'Université de Harvard, « le péché originel de la pandémie aura été de négliger la transmission du virus par voie aérosol ». Des enseignements ont-ils été tirés sur la question de l’aération et sur la qualité de l'air ?

Selon l'observatoire de la qualité de l'air en Île-de-France, la concentration élevée de particules n'est pas directement liée aux retombées des feux de forêt au Canada, mais principalement causée par les affrontements qui ont éclaté dans tout le département.

Alors que nous semblons être à l'aube d'une 9ème vague de Covid-19, à quoi faut-il vraiment s'attendre si nous sommes tous omicronés cet hiver ?

Des chercheurs affirment avoir découvert comment la pollution atmosphérique peut provoquer un cancer. Cette découverte bouleverse notre compréhension de l'apparition des tumeurs

C’est même plus de 50% de la population mondiale qui est exposée à une pollution naturelle qui dépasse les nouvelles normes de qualité de l’air édictées par l’OMS. Ont-elles vraiment un sens dans ce contexte ?

Depuis le début de la pandémie de Covid-19, il a été maintes fois évoqué l’importance d’ouvrir les fenêtres pour éviter les infections. Pourtant, la France a très peu investi dans l’aération des lieux publics et la purification de l’air intérieur.

Il semble que depuis la souche initiale, les durées d'incubation des différents variants se sont réduites, jusqu'à un Omicron dont les effets se font sentir très vite.

L'Organisation mondiale de la santé a adopté de nouvelles recommandations beaucoup plus strictes en matière de qualité de l'air. Pour l'OMS, ce fléau est aussi grave que celui du tabagisme ou de la mauvaise alimentation.

Le collectif Du Côté de la Science a publié, sur Twitter, un graphique illustrant la concentration en CO2 dans une classe de 25 élèves, avant et après aération. Quelles leçons pouvons-nous en tirer pour agir efficacement contre la Covid-19 ?

Le Premier Président de la Vème République n’a pas connu le développement de toutes les théories écologiques, des inquiétudes et angoisses liées au réchauffement climatique. Alain Carignon, ancien ministre de l’Environnement et Ferréol Delmas, directeur du think-tank « Ecologie responsable » expliquent que celui qui lance « l’Appel du 18 juin » livre au travers de son parcours, une véritable leçon politique, applicable aujourd’hui, notamment en matière de politique écologique.

Une étude américaine de l'Agence pour la protection de l'environnement alerte sur la pollution intérieure, qui peut s'avérer deux à cent fois pire que celle de l'air extérieur.

Certaines études récentes ont toutefois avancé que les arbres pourraient bien aggraver la situation, en capturant les polluants.

La pollution atmosphérique ne faiblit (timidement) que par endroits. Surtout, elle provoque chaque année un million et demi de décès prématurés si l'on en croit les estimations de l'Organisation Mondiale de la Santé.

Ce serait désormais l'affaire de quelques semaines : la vitesse maximale sur le périphérique parisien devrait être abaissée de 80 à 70 km/h. Une initiative de la mairie de Paris qui doit permettre de réduire les niveaux de pollution. Mais est-on certain de son efficacité ?

C’est ce que révèle le bilan annuel de la qualité de l’air dévoilé par le ministère de l’écologie.

Les particules augmentent la pression sanguine, et les gaz empêchent le sang de transporter l'oxygène.